Traitez vos mots de passe comme vous traitez vos sous-vêtements.
A – Ne les partagez pas avec personne.
B – Changez-les régulièrement.
C – Ne les laissez pas trainer sur votre bureau.
Le blogue qui n'en est pas un...
Traitez vos mots de passe comme vous traitez vos sous-vêtements.
A – Ne les partagez pas avec personne.
B – Changez-les régulièrement.
C – Ne les laissez pas trainer sur votre bureau.
Un vent de panique s’abat sur le monde numérique suite à l’adoption du Règlement général sur la protection des données (RGPD).
Je ne prétends pas tout comprendre de ce règlement et mon avis ne remplace pas celui d’un juriste formé en droit numérique (que je vous invite à consulter sur le sujet), mais je vous partage ma position et quelques pistes à la sauce « gros bon sens » que j’affectionne tant, pour mieux vous y retrouver.
Si vous évoluez fréquemment sur le Web, vous possédez sûrement un incontournable compte Google, puisque ce seul profil vous donne accès à une multitude de sous-comptes où vous pouvez télécharger, gérer et partager plusieurs centaines de mégaoctets de données numériques (courriels, photos, vidéos, musique, documents, calendriers, agendas, etc.). Mais avez-vous pensé à ce qu’il adviendrait de toutes ces données numériques après votre mort? Google oui!
En 1997, alors que Natmark ouvrait ses portes, Internet était jeune. Un peu plus d’un million de sites (± 1,269,800 *) peuplaient la grande Toile, les moteurs de recherche étaient primitifs et il était alors assez facile d’obtenir un rang prioritaire dans les résultats de recherche. Aujourd’hui (mars 2018), avec plus de 1,7 milliards * de sites Web répertoriés (chaque site lui-même pouvant contenir plusieurs centaines de pages) le principe de l’aiguille dans la botte de foin devient évident, lorsque l’on tente de se démarquer. (* Source : Netcraft)